La Chambre africaine de l’énergie (AEC) (EnergyChamber.org), qui représente le secteur énergétique africain, a lancé des services de conseil spécialisés pour soutenir le développement du secteur énergétique africain. Conformément à la mission plus large de l’organisation, qui consiste à améliorer le paysage du secteur énergétique africain et à soutenir un environnement commercial axé sur les résultats pour les entreprises opérant sur ce marché, ces services sont adaptés aux secteurs du pétrole, du gaz et de la pétrochimie, et accompagnent les clients tout au long du cycle de vie de leurs projets.
S’appuyant sur la présence étendue de l’AEC en Afrique et à l’international, les services de conseil soutiendront les transactions commerciales, les investissements étrangers et les fusions et acquisitions (M&A) en Afrique, et visent à réduire la pauvreté énergétique en libérant davantage de valeur des ressources du continent. Les capacités de l’AEC dans ce domaine comprennent l’aide à la planification et à l’exécution de projets, les études de faisabilité et la modélisation financière, ainsi que les stratégies de coordination et de communication avec les parties prenantes. L’AEC propose également des services liés à l’application des meilleures pratiques du secteur afin d’optimiser les rendements et de stimuler la croissance, ainsi que des conseils en matière de conformité réglementaire, d’entrée sur le marché et d’atténuation des risques. Ces services permettront non seulement aux clients d’investir de manière stratégique sur les principaux marchés africains, mais aussi de maximiser leur retour sur investissement, d’accroître leur rentabilité et de poursuivre leur expansion sur le continent.
Au-delà des services de conseil, l’AEC offre également une expertise spécialisée dans l’identification et l’exécution d’opportunités d’investissement à forte valeur ajoutée tout au long de la chaîne de valeur pétrolière en Afrique. Tirant parti de sa présence internationale, de son expertise sur les marchés stratégiques africains et de ses solides relations avec les secteurs public et privé, l’organisation s’engage à soutenir des investissements mutuellement avantageux en Afrique. Les principales compétences de l’AEC dans ce domaine comprennent la création et le conseil en matière d’investissements en amont, en milieu de chaîne et en aval ; les études de préfaisabilité, la représentation des entrepreneurs et la structuration de projets ; les services techniques, notamment l’ingénierie, la maintenance et l’approvisionnement en matériaux ; et la planification stratégique et l’accompagnement opérationnel afin de maximiser la performance des investissements. Ces services fournissent non seulement aux financiers internationaux et aux développeurs de projets les outils dont ils ont besoin pour réussir en Afrique, mais ils soulignent également le rôle que joue l’AEC en tant que partenaire de choix pour les acteurs du secteur de l’énergie à la recherche d’opportunités de croissance sur le continent.
Ces services interviennent à un moment où le secteur énergétique africain est sur le point de connaître une croissance significative, les opérateurs internationaux élargissant leurs portefeuilles, les acteurs régionaux augmentant leurs investissements et la demande de pétrole continuant de croître sur tout le continent. Le rapport « State of African Energy 2025 Outlook » de l’AEC montre que les investissements resteront solides en 2025, avec des dépenses d’investissement totales estimées à 43 milliards de dollars. D’ici 2030, les investissements devraient atteindre 54 milliards de dollars, soulignant l’attractivité du continent en tant que destination pour les investissements énergétiques. Parallèlement, les activités de fusion-acquisition en Afrique ont connu une croissance robuste, avec une hausse de 73 % au premier trimestre 2024 par rapport à 2023. Cette évolution s’explique en grande partie par l’intérêt croissant des compagnies pétrolières nationales (CPN) d’Asie et du Moyen-Orient pour l’Afrique, ainsi que par l’expansion régionale des CPN africaines.
À l’avenir, les activités de fusion-acquisition devraient continuer à croître, les entreprises recherchant de nouvelles opportunités sur les marchés établis et émergents. En réponse, les pays africains offrent de plus en plus d’opportunités d’investissement. En Afrique du Nord, il s’agit notamment des prochains appels d’offres en Libye (22 blocs), en Égypte (12 blocs) et en Algérie (6 blocs). En Afrique orientale et australe, il s’agit notamment de l’Angola (10 blocs) et de la Tanzanie (24 blocs), tandis que l’Afrique du Sud devrait ouvrir des zones offshore et onshore. La Mauritanie se prépare également à lancer un cycle d’octroi de licences pour 15 blocs, tandis que le Nigeria et le Liberia ont tous deux lancé des appels d’offres en 2024. À mesure que les opportunités commerciales continuent de s’ouvrir, les pays réforment également leurs politiques réglementaires et fiscales afin d’attirer les investissements grâce à des conditions compétitives. Compte tenu de la complexité des transactions pétrolières et gazières, il est impératif de comprendre ces changements ainsi que les environnements réglementaires respectifs des pays africains. Grâce à sa gamme de services d’investissement et de conseil, l’AEC est un partenaire solide pour les entreprises qui souhaitent investir et conclure des accords en Afrique.
« L’AEC s’est donné pour mission de faire de la pauvreté énergétique en Afrique une chose du passé. Pour y parvenir, l’organisation s’est engagée à travailler en étroite collaboration avec les gouvernements africains, les opérateurs internationaux et les bailleurs de fonds. Grâce à son expertise sectorielle, ses compétences techniques et sa connaissance du marché, l’AEC permet à ses clients de créer de la valeur, de gérer les risques et d’atteindre une croissance durable sur des marchés énergétiques complexes », déclare NJ Ayuk, président exécutif de l’AEC.
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